Le SPS fidèle à ses convictions
Le SPS depuis sa création en 2011 est resté fidèle à ses objectifs : la reconnaissance et
l’encadrement de notre métier et son inscription comme discipline d’accompagnement à la
santé.
Notre créneau : L’accompagnement à la santé
L’accompagnement à la santé est une composante essentielle du « prendre soin », l’autre
pilier de la santé aux côtés du « cure ».
Un syndicat est là pour défendre ses adhérents mais aussi une profession. C’est dans ce sens
qu’il reste vigilant sur ce qui est dit et fait autour du shiatsu, dans le respect de la déontologie
et de l’éthique professionnelle. Nous avons accompagné nos adhérents dans ce chemin
difficile, parfois douloureux d’un discours irréprochable pour éviter toute perte de chance de
nos clients dans leur parcours de santé. Pour nous praticiens, le SPS travaille à éviter toute dérive dans l’exercice de
nos professions et le choix de nos formations.
Constance dans nos démarches
Nous sommes constants dans cette démarche ce qui nous vaut d’être aujourd’hui des
interlocuteurs écoutés des tutelles et de différents organismes, comme les mutuelles,
l’URSSAF ( nous avons deux représentants élus au CPSTI2) ou bien encore L’INSEE ( nous
avons discuté longuement de la mise en place de la prochaine nomenclature) .
Grâce à notre initiative de créer la Confédération Syndicare, adhérente de la FNAE, nous
avons aujourd’hui plus de poids pour négocier et faire entendre nos revendications.
Dans ce cadre nous avons été reçus par le Président du FIFPL qui a entendu nos suggestions
d’évolution des critères de prise en charge. Toujours dans le même cadre, nous serons reçus
prochainement à la Miviludes pour exprimer notre souhait d’éviter les discriminations à
notre égard et de pouvoir expliquer notre stratégie d’encadrement.
Ce chemin de rigueur et de combat éthique qu’ont emprunté nos amis japonais les a
conduit à l’intégration du shiatsu dans le système de santé japonais. C’est ce que nous
souhaitons en France.
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